Lou's manga / #Slice of Life(99)

Si je devais décrire leur relation en un mot ça serait "passion". C'est fort, intense, dangereux, fragile, douloureux. Mais c'est une happy end sans trop de angts.

Ça m'a mis assez mal à l'aise, heureusement que c'est court et que ça se finit bien.

Une histoire a lire qu'une fois pour ma part parce que je suis pas trop fan de angst surtout quand ça parle de viol sur des enfants mais cette histoire reste magnifique. Un quête identitaire pour le personnage d'Arima qui se cherche dans le spectre des genres, tout ça a cause du traumatisme que lui a fait subir sa mère et cette raclure de bidet qui mérite une vie de torture sans répis et un aller simple pour l'enfer. Et le personnage principal, naïf et candide, amoureux de cette fille Marie (Arima) auprès de qui il va apprendre que tout n'est pas si simple. Une petite pensée à l'auteur qui est mort à seulement 23 ans pour son histoire qui est tellement d'actualité et très réaliste.

C'est pas mal.

Au début on a l'impression d'être dans une histoire assez cliché cependant on se rend vite compte que l'histoire est complètement atypique dans sa construction. Le main couple n'est pas celui auquel on s'attend. Pour être honnête, il n'y a pas vraiment de main couple puisque les personnages sont tous liés les uns aux autres et entraîne comme un effet papillon un avancement pour chacune de leur histoire. J'ai pu finir cette histoire et j'en suis contente, non plutôt soulagé de ne plus avoir de chapitres à lire puisque tous les personnages manquent malheureusement de ce petit je ne sais quoi qui fait qu'on s'attache à eux. La conclusion est bien et dans l'ensemble il n'y a pas ou peu de scénarios à rallonge mais ça reste longet à lire, en plus l'histoire ne m'a rien apporter. Donc je ne conseille pas une seconde lecture. À tes risques et périls.

C'est assez cute, j'aime bien les histoires entre collègues parce que il y a comme une sorte d'incompatibilité avec la romance bizarrement. Et moi j'aime bien l'interdit, ou plutôt l'impensable (?), non l'impensé ! Dans le Japon des salariés, l'homosexualité c'est genre "inexistant"... et pourtant !